23.1 Drôle De Soirée Pour Nico Final 1
Je viens de rentrer aux chiottes. Un mec sort dune cabine : un mec genre pas moche du tout, châtain clair, les yeux gris, pas très grand mais un joli physique quand même
un regard pas commode, genre caillera, puant lalcool à plein nez
sa chemise blanche déboutonnée jusquau nombril ou presque offrant une large vue sur un beau torse imberbe, un des pans sorti du pantalon, les manches approximativement retroussées
le mec débraillé à souhait, sexy tout plein
putain que cest beau aussi une simple chemise blanche sur un beau mec
Oui, il est vraiment pas mal, alors je le mate une peu. Problème, le mec se rebiffe.
Quest ce que tas à regarder ?
Je
je
je
croyais que vous étiez quelquun dautre
Cest pas plutôt que taurais envie de sucer ma queue, par hasard??
Vous vous trompez
Tu viens me sucer maintenant ou ça va faire mal
Et ce disant, le mec att la porte dune cabine et il la fait pivoter sur les gonds, un coup en avant et un coup en arrière, le regard fixe sur moi, poussant des respirations profondes, les yeux lançant des flammes. On dirait un taureau prêt à charger.
Le fait est que ce mélange dexcès dalcool et dirritation ne minspire rien qui vaille et me fait dire : « Nico, ny vas pas
ce mec est capable de te cogner pendant que tes à genoux devant lui ». Non, je me sens pas du tout en sécurité
ni en disant oui à sa proposition, et encore moins en disant non
Viens
insiste le mec.
Non - je lui réponds.
Tu lauras cherché, le pd
Il lâche la porte qui se referme en claquant légèrement et il avance lentement vers moi. Il nest plus quà cinq, trois, deux mètres de moi, je me prépare à me protéger des coups quil va dégainer
quand la porte des chiottes souvre
Cher lecteur...
oui, toi, c'est fab75du31 qui te cause...
Avant d'aller plus loin dans la lecture, il faut que tu saches que tu vas lire non pas LE final de l'épisode 23 mais UN final.
Dans les jours à venir, une autre issue à cette situation, complètement différente, va être envisagée et postée sur HDS. Les deux sont légitimes
A toi de choisir celle qui te semble la plus opportune...
Je compte sur toi pour déchaîner les commentaires et me dire ce que tu préfères...
Si tu préfères le final 1 tapes 1, sinon tapes 2... lol
Ton choix est fondamental car il conditionnée les épisodes à venir
Bonne lecture !
quand la porte des chiottes souvre
trois mecs entrent et passent à coté du caillera dabord et de moi ensuite sans même nous calculer pour aller enfin se poster devant les urinoirs derrière moi. Un quatrième mec arrive et senferme dans la cabine dont le type avait tenu la porte un peu plus tôt.
Je vois le caillera prendre une longue inspiration et le calme semble regagner un peu son esprit : peut-être arrive-t-il enfin à réfléchir à travers les fumées alcoolisées qui engourdissent son cerveau de male primitif
Tas de la chance, toi me lance-t-il avant de cracher un bon coup sur mes chaussures la prochaine fois tu ne ten tireras pas comme ça
Il fait demi tour et disparaît de lautre coté de la porte, dans la salle. Et moi je reprends enfin ma respiration interrompue à je ne sais plus bien quel moment de notre aimable conversation. Je retourne auprès dElodie un brin chancelant après la brusque montée dadrénaline que je viens de vivre, une tension qui vient de retomber brutalement me laissant ko. Evidemment, je ne me sens pas le courage de lui raconter la petite aventure que je viens de vivre
Faut dire également que depuis une minute, une minute tout juste, ma priorité est soudainement devenue toute autre. Mon portable sorti de ma poche pour regarder lheure, je viens davoir la surprise géante de trouver un sms de Jérém datant de 2h42, soit 8 minutes plus tôt
« Viens a lapart minant »
Toujours son sens légendaire de la formule. On dirait du Sand à Musset.
Elodie
- je laborde avec le calme et la pondération dun coureur qui vient de fait le marathon de New York. Evidemment, ma cousine me voit arriver. Putain, celle là
Quoi Nico, quest ce quil se passe
On rentre ?
Déjà ?
Stp, je te revaudrais ça
Quest ce quil se passe ?
Il ma envoyé un message
Il narrive pas à dormir, il a envie dune gâterie
Cest à peu près ça
Et toi, en toutou bien sage, tu pars sucer la queue de ton maître dès quil claque des doigts
Elodie, stp
stp
stp
Vraiment parce que je taime bien, mon cousin, mais tu sais ce que jen pense
Je tadore, Elodie
Elle part prévenir Alex et Joffrey. Cinq minutes plus tard on quitte le parking de lEsmeralda et jenvoie un sms à Jérém : « Dans un quart dheure ».
Pendant le trajet, pas de réponse : alors, quand Elodie me dépose au carrefour à deux pâtés de maisons du dortoir (comme je lui ai demandé pour ne pas susciter la curiosité de ses amis, sous couvert de lui éviter un petit détour), je mempresse de rejoindre lentrée de limmeuble, impatient de savoir si Jérém ma attendu. Mon cur bondit dans ma poitrine quand, au premier appui de mon doigt, jentends le claquement électrique de la serrure
putain
pour réagir aussi vite, il devait être juste devant la porte en train de mattendre
Je monte les marches quatre à quatre et je suis devant la porte de sa chambre
elle est ouverte et Jérém est là, appuyé au cadre, son t-shirt Airness blanc moulant son physique de dingue, cette belle ceinture de cuir épaisse, une vraie ceinture de mec, défaite, les deux extrémités béantes ; la braguette ouverte, laissant voir une large portion dun magnifique boxer bleu de la même marque que le t-shirt
et à travers le tissu fin, je devine, je reconnais lérection de sa queue
je sens monter lodeur de son sexe
Toujours cette image de gardien de la vertu dans ma tête
« Monsieur, vous aviez été prévenu
vous dégagez un truc tellement sexuel, tellement viril, avec votre tête de p'tit con sexy à gifler, que là, une mesure drastique s'impose
votre permis de séduire vous sera retiré pour une durée à définir, chose qui vous interdira dune part de vous vêtir autrement que avec une cotte de travail et dautre part davoir des rapports intimes avec qui que ce soit ; par ailleurs, vous devrez vous acquitter sur le champs d'une amende payable à grand coups de queue entre les fesses de celui qui vous parle
».
Hélas, ça cest ce que jespérais. Ce que jignorais cest que, suite au truc de dingue que je lui avais fait le soir de la sortie avant le bac, Jérém avait conçu une vengeance ; malin, il avait intégré le fait quune vengeance se déguste mieux à froid et surtout quelle doit être stratégiquement positionnée pour ne pas compromettre les avantages que cette vengeance pourrait couper net. Cest pour cette raison sans doute que Jérém attendit la fin des révisions, les vraies, pour mettre en uvre ses représailles vis-à-vis de ma prise de contrôle sur sa sexualité de la dernière fois
Evidemment, je ne me doutais de rien
comment me douter de lui avoir déplu en lui faisant plaisir. Oui, cest un concept : déplaire en faisant plaisir. Un concept que, quand on lanalyse, est un bel exemple doxymore. Je naurais compris que beaucoup plus tard, quand il me laurait expliqué avec ses propres mots que ce soir là, Jérém avait eu limpression de se faire pirater sa sexualité, den avoir perdu le contrôle
comme subissant lattaque dun hacker qui prend le contrôle dun ordinateur à distance et qui en tient lutilisateur à sa complète merci lui coupant tout libre arbitre
Et ça, ça nétait pas passé, mais alors, pas du tout
et ma tentative de réitération du vendredi avait mis le feu aux poudres
Ne jamais chatouiller un male dans sa sexualité : hélas, lorsque on agit à laveugle, nos agissements natteignent pas tout le temps la cible voulue. Et dans le noir on ne voit pas le retour de boomerang qui va nous frapper de plein fouet. Jignorais tout de ses intentions et de son ressenti : ce qui fait que rien, ce soir là, ne se passerait comme je laurais espéré.
Le mec est là, devant moi, il me toise, il me jauge. Il a un regard dur, viril, limite agressif. Je vois dans ses yeux un truc noir, une étincelle mauvaise qui me surprend et qui me chiffonne. Il nest pas comme dhab
lalcool, peut être
le chichon
sais pas
il y a quand même un truc qui me parait pas comme dhab
il me regarde, immobile, la queue tendue dans son boxer, je ne comprends pas bien de quoi il a envie ce petit con.
Je passe le seuil, il ferme la porte. Et il s'appuie au mur sans bouger: il me jauge toujours et encore de ce regard détaché, arrogant, un regard qui tue
putain de p'tit con, si fier, si hautain, si sur de lui, merdeux, juste parce tas une queue et deux couilles entre les jambes, qui semblent t'autoriser à te sentir le maître du monde, appartenant à une race supérieure, celle des jeunes mâles dominants, une affirmation de supériorité qui passe par le mépris de ton « pd », de ce vide couilles dont tu te sers quand même assez souvent pour assouvir tes envies et tes fantasmes
Petit merdeux, va, tu verrais ti con si d'un coup, dun seul, toutes les nanas arrêtaient de coucher si tu ferais autant le malin... c'est génial d'être aussi beau et d'avoir autant le choix pour soulager sa queue, n'est pas?
Et de but en blanc je lentends me lancer cela :
Fous toi à poil
Il me regarde me dessaper en silence, dans un silence lourd, très lourd, lourd comme son regard, lourd et pénétrant.
Petit con de Jérém, tu es insupportable dans ton attitude de jeune mâle dominant
tellement odieux et assuré que je trouve si bon de me faire ainsi humilier par toi
je me rends compte que notre relation nest quun rapport de force continuel
jadore me faire humilier par toi, mais jai parfois aussi envie de te montrer que tu ne contrôles pas tout
comme lautre soir
te tenir par les couilles
et jen ai à nouveau envie juste à, devant ton attitude de macho dépassant carrément les bornes
putain de ti con, tu ne mérites que ça
te faire jouir tellement fort à faire disparaître ta superbe !
Mais pour linstant sa superbe est bel et bien là, et dun simple regard je comprends quil veut que je me mette à genoux devant lui. Quoi de plus naturel à mes yeux ? Dans ma tête jy étais déjà, à genoux devant lui, bien avant sa sommation silencieuse. Dans ma tête, jy suis tout le temps.
Et le voilà qui ôte son t-shirt
et putain de putain de putain
à chaque fois cest la même décharge dadrénaline
non, non, non, je ne my habiai jamais, jamais !!! Jamais, tellement son simple geste de se dénuder, dattr le t-shirt, de le soulever, de lever les bras en pliant le buste vers lavant, et de le faire passer à travers sa tête est à mes yeux dune puissance érotique à me faire presque défaillir
oui, la vision de sa plastique incroyable, me fait un choc à chaque fois
Il ouvre un peu plus sa braguette, il porte une main derrière ma tête et la colle à la bosse qui déforme son boxer
il relâche sa pression et je me retrouve le nez collé contre le tissu, humant son odeur, son odeur de mec, lodeur de sa queue, mes lèvres parcourant la bosse millimètre après millimètre, sentant sa chaleur, la prenant en bouche a travers le tissu, continuant à la sentir se gonfler, palpiter de désir, retardant le moment ou enfin sa queue va déborder du tissu
putain que cest bon
Là jai vraiment envie de le prendre en bouche et je porte une main vers lélastique du boxer pour commencer à descendre tout en douceur ce voile léger mais oh combien excitant qui me sépare de cette queue dont le désir commence à cogner dans ma tête jusquà me rendre dingue
La surprise de taille arrive quand sa main vient prestement et violemment arracher la mienne à sa noble intention. Son autre main vient à nouveau ramener ma nuque contre sa bosse, mon nez coincé dans le creux entre ses couilles et la naissance de sa queue. Il me maintient ainsi pendant un bon moment, jusquà que je le sens me repousser aussi violemment quil mavait attiré à lui
Il sort sa queue de son boxer et la prend dans sa main en commençant à se branler vigoureusement. Me voilà de plus en plus impatient davaler ce sexe gonflé et pulsant de virilité. J'avance mon buste pour approcher ma bouche de son gland, pour substi mes lèvres à sa main autour de sa queue : hélas, je suis surpris de constater que Jérém ne semble pas vouloir arrêter ses va-et-vient
faut imaginer ma frustration et ma déception quand, en lieu et place de la douceur de la peau de son gland, je reçus sur mon nez et sur mes lèvres les quelques coups de retours rapides de sa main, avant que je me décide à reculer.
Putain, je suis à vingt centimètres de son gourdin, son odeur de mec me rend dingue et je suis en train de le regarde se branler... quel gâchis
vraiment je ne comprends pas ce qu'il attend. Il demeure silencieux. Je cherche son regard. Une lueur coquine, perverse et mauvaise l'embrase. Maintenant jen suis sur, il y a un truc pas comme dhab
Il est sexy à crever... je n'en peux plus de le voir se branler, jai vraiment l'urgence de le prendre en bouche...
J'ai envie de te sucer, je lui lance...
Je sais, mais cette fois-ci tu vas juste regarder...
Ca va être dur...
Tu n'y toucheras pas...
Son sourire mauvais toujours au coin des lèvres... Espèce de ti merdeux impuni!!!!!!!!!!! Regarder sans pouvoir toucher son gland pulpeux
il se rend pas compte de la que ça va être
Je suis de plus en plus frustré de cette situation, dans mes narines cette odeur de queue et de transpiration de mec, une odeur qui met tous sens dans cet état dexcitation extrême dans lequel lui seul sait me mettre, sans arriver à comprendre pourquoi il renonce au bonheur d'avoir mes lèvres si douces, ma langue si experte et ma gorge si accueillante autour de sa queue, uvrant dans le seul but de le faire jouir...
Regardes-la... tu en as envie, nest pas?
Oh oui, Jérém, même très envie...
Mais tu ne vas pas l'avoir...
Tu ne vas pas me faire ça... j'en ai trop envie là... tu me fais tellement d'effet, j'ai tellement envie de ta queue...
Je te dis que tu vas juste regarder, espèce de salope!
Je me dis que ce n'est pas possible d'être si beau et si con à la fois, mais je lis clair dans son jeu: ce petit con est en train de renoncer à ma sublime fellation juste pour le plaisir de me faire crever d'envie. Pour sentir le désir brûlant, le désir de lui, le désir faire vibrer mon corps tout entier. Son désir de me voir languir comme tout à lheure dans les toilettes de la Bodega serait son truc à lui pour prendre son pied ce soir là ? C'est frustrant et terriblement excitant. Jai vraiment envie de le supplier de me laisser le sucer et de me laisser gouter à son foutre...
S'il te plait, Jérém, tu es trop canon, trop bien foutu, trop sexy, laisse moi te prendre en bouche...
Non !
Mais j'ai trop envie de te sucer...
Je sais mais je m'en fous, tu vas me regarder me branler et jouir sans y toucher...
S'il te plait Jérém... je l'implorais carrément, complètement soumis à sa virilité et dominé par sa queue - si tu me laisses te sucer je vais aussi te lécher la rondelle... à fond... comme tu aimes...
NON !
...et quand u vas jouir, je vais tout avaler...
Je sais que tu es une pute, mais cette fois ci tu ne touchera pas à mon manche
Tu aimes quand je te suce à fond?
Bien sur!
Et quand j'avale?
C'est le pied...
Tu aimes quand je te lèche la rondelle?
Ah oui!
Alors laisse moi te faire plaisir, laisse moi te lécher la rondelle et laisse moi te faire jouir avec ma bouche, s'il te plait...
Il ne répond rien, continuant à se branler sans répit, sapprochant dangereusement de lorgasme...
Putain de p'tit con! Jai chaud, jai chaud, jai chaud, je n'y tiens plus...
J'ai trop faim de ta queue, d'avoir la bouche bien remplie, je te laisserai la baiser profond, je te laisserai jouir bien au fond, j'ai envie de sentir ton jus chaud qui coule dans ma gorge...
Mes mots doivent l'exciter car je sens qu'il va désormais jouir rapidement, l'odeur de son sexe augmentant en intensité, sa respiration prenant ce rythme bien connu, son visage pris dans les grimaces qui annoncent lapproche de sa jouissance; je me dis que mon torse va en prendre pour son grade ou que mon visage va être souillé par ses giclées...
Mais non, pas du tout, le p'tit con a autre chose en tête... et là je le vois diriger sa queue vers le bas et gicler plusieurs jets denses et copieux en direction du carrelage entre nous deux, certains étant si vigoureux que je sentis mes bras en être éclaboussés...
Il se secoue la queue pour faire tomber les dernières gouttes et je sens plusieurs impacts humides toucher ma joue. Il sest vidé
dans lair une putain d'odeur de foutre... par terre devant moi, un certain nombre de traînées de jus de mec
Tu sais ce quil te reste à faire...
Putain... il ne va pas me demander ça... Hélas, devant mon hésitation, je lentends préciser :
Mets toi à quatre pattes et essuie ça...
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